C’est bien connu, le négatif s’invite plus facilement que le positif. Le ratio dans ce domaine est de 1/3.
Très souvent, nous avons donc « quelque chose à redire »… C’est bien, mais…
La joie de vivre est une aptitude à appréhender la vie d’une manière positive et pourquoi pas même, rigolote. Un peu comme une curiosité enthousiaste, d’instant en instant, à découvrir ce qui se cache derrière chacun de nos pas.
De mon point de vue et de ce que j’ai pu expérimenter, la joie de vivre est composée de 4 principaux ingrédients :
- Une croyance positive et constructive sur ce qu’est la vie ainsi que sur son utilité
- Une capacité à choisir son état interne quelque soit les situations de la vie
- Une capacité à accepter et à lâcher-prise face aux évènements qu’elle nous propose (notamment grâce à notre croyance)
- Et de jouer, en considérant la vie comme une expérience.
I. De nouvelles croyances pour une autre vie.
Vous êtes-vous posé la question de savoir à quoi sert la vie ?
Pour répondre à cette question, prenons de la « hauteur » et sortons de notre seul conditionnement égotique.
Si la vie semble parfois dure, voire injuste, c’est en partie due à une mauvaise connaissance de celle-ci. La vie ne s’improvise pas comme nous le souligne si bien Michèle Schwarz.
(Cliquez ici ou sur l’image pour télécharger son livret « Evolution et équilibre). Offert par Michèle Schwarz.
Notre égo, dont nous avons besoin pour fonctionner, répond de manière binaire aux sollicitations extérieures :
Il dit : ceci est bon pour moi, cela ne l’est pas. Il aime, ou il n’aime pas, il veut, ou ne veux pas, il accepte ou il refuse…Considérez le comme « un filtre ». Il filtre ce qui est soi-disant bon ou pas pour nous, ou disons plutôt, ce qui est bon ou pas pour lui.
Ce filtre automatique se construit tout au long de notre vie et particulièrement entre 0 et 7 ans. C’est pendant cette période que la personnalité (égo) se forge.
Aimer la vie, et bien la vivre, consiste en effet à se forger cette identité, MAIS, pour poursuivre notre évolution dans le bon sens, nous serons amené à la « lâcher », pour sortir de cette identification de soi-même et nous révéler pleinement. La personnalité n’est qu’une étape !
C’est ici que commence le travail sur soi.
Vous apprenez à faire du vélo avec des petites roulettes parce que vous en avez besoin, puis, un jour, vous devez abandonner ces roulettes pour apprendre « l’équilibre » et ainsi devenir cycliste.
Vous devez donc lâcher votre « personnage égotique » pour aller à la rencontre de votre « être » et vivre votre vie.
C’est ainsi que la vie nous propose de grandir
, en nous retirant nos petites roulettes auxquelles nous sommes souvent très attachés. Ces roulettes s’appellent : zone de confort, certitude sur la vie car elle nous rassure, croyances limitantes…
Certaines personnes, devant tant de « risques », préfèrent en rester là. Elles prétendent se connaître, ce qui est vrai d’un certain point de vue, elles connaissent leur personnage égotique, mais elles ne connaissent pas encore leur « être ».
Ainsi, pour savoir ce que nous voulons vraiment, et non pas le simple désir intellectuel de notre personnage ou de notre égo, la vie nous montre ce chemin en nous guidant au travers des expériences qu’elle nous propose.
Mon premier thérapeute me disait : « Maxime, fait confiance en l’univers ! ». Je trouve cette phrase tellement juste aujourd’hui.
La vie ne souhaite donc que notre bien. Voici la meilleure des croyances que vous pouvez adopter pour être heureux sur cette Terre et retrouver votre joie de vivre.
Sans nécessairement vous en rendre compte, c’est l’application de cette croyance qui est la source de toutes vos réussites.
« Vous avez d’abord eu une idée, sans savoir ce que cela pourrait donner. Vous en avez parlé, vous l’avez testée, vous vous y êtes engagé, vous y avez cru, vous avez eu confiance en votre projet, vous avez fait preuve de lâcher-prise face à un avenir incertain, le projet à « pris », et le voilà lancé ».
Constatez seulement que pour en arriver à cette réalisation, vous avez fait confiance à la vie, à l’univers, à vous-même. Vous ne connaissiez pas l’issue de cette simple idée, mais vous y êtes allé quand-même !
Vous n’avez pas « filtré » votre idée de départ, vous ne l’avez pas mise de côté, vous avez dit oui !
Ainsi, et contrairement à ces croyance du « tout ou rien », de « l’attraction ou de la répulsion », du « j’aime ou j’aime pas », voici une liste de croyances constructives sur la vie et nécessaires à une plus grande joie de vivre :
- Tout évènement à une raison d’être, particulièrement si il me touche ou me bouscule. C’est une opportunité de prendre conscience de certaines choses.
- La vie m’apporte tout ce dont j’ai besoin « pour prendre conscience » du chemin de mon être. Pour grandir, pour me diriger.
- La vie n’a de sens que celui de mon éveil, de mon bonheur et de ma réalisation.
- Je lui fais donc confiance car même si je ne comprends pas toujours ses messages, je sais qu’elle me permet de me rapprocher de moi-même.
Pour être heureux dans notre vie, nous avons besoin de croire en celle-ci.
- Vous avez besoin de lui faire confiance même si vous ne comprenez pas ce qui vous arrive.
- Vous avez besoin de cette croyance ressource que « tout ce qui vous arrive est tout simplement bon pour vous », tout simplement parce que cela vous arrive.
La grande question alors c’est peut-être comment faire confiance en la vie ou en l’univers en étant sûr de ne pas se tromper !? Comment faire confiance à quelque chose de si peu matériel ?!
J’ai l’impression que cette réponse vient progressivement au fur et à mesure des expérimentations. Petit à petit, en constatant les résultats bénéfiques de cette vision du monde sur notre bonheur, il devient difficile de ne pas y croire.
Essayez, et vous verrez.
Rationnellement parlant, observez également que dans certains cas de souffrance, changer de vision du monde ne peut pas être pire que ce que nous vivons déjà ! Autant faire autrement.
Enfin, vous n’avez pas besoin de tout comprendre et de tout savoir à l’avance pour être heureux. Tout ne s’explique pas avec notre intellect. Suivez le flux, écoutez-vous, faites confiance à votre intuition, soyez présent, voilà la recette du bonheur.
Je sais que la vie est bienveillante et je sais qu’elle pourvoira à mes besoins profonds, c’est-à-dire aux besoins de mon Être.
Voilà ce que je vous propose d’adopter comme nouvelle croyance pour installer la joie de vivre dans votre nouvelle vie.
II. Reprendre le contrôle sur soi-même
Nous sommes doué d’un pouvoir immense que nous ignorons souvent. Ce pouvoir c’est de décider de la façon dont nous nous sentons, et ce, quand nous le voulons ! Là est notre véritable pouvoir.
Dans l’inconscient collectif, c’est la vie qui décide à notre place de notre bonheur, nous subissons « les aléas de la vie » !
Et c’est vrai, nous ne décidons pas de certains aléas, en revanche, nous décidons de notre manière d’y répondre, d’y faire face, et donc de notre bonheur. Les aléas et le bonheur sont deux choses bien distinctes !
Sachez que « subir » (sur le plan émotionnel) est un choix, tout comme celui de « choisir », et ce choix nous appartient.
Cette conscientisation est FONDAMENTALE !
Bien sûr, ce sera toujours plus facile de reporter la faute sur autre chose, sur la vie ou sur quelqu’un, mais ce n’est pas la vérité ! Souvenez-vous que votre bonheur ne se trouve pas « à l’extérieur » mais bien « en vous ».
Nous ne pouvons pas attendre de la vie qu’elle nous rende heureux, ce n’est pas son rôle.
- SON rôle, c’est de nous aider à grandir et à nous réaliser.
- NOTRE rôle, c’est d’être capable de choisir notre état de bonheur quelque soit les situations, mieux encore, de créer des situations grâce à cet état émotionnel !
C’est un travail de conscience, d’éveil, de responsabilisation ayant pour but de retrouver notre pouvoir créateur et de vivre une vie la plus épanouissante possible.
À ce moment-là, la vie est particulièrement belle, même si ce que nous vivons est parfois difficile, car nous savons, au fond, que nous grandissons !
Vous savez que vous grandissez, vous le sentez, et ça, c’est exaltant et merveilleux !
Le but est le chemin et le chemin est le but !
Vous trouverez sur ce blog tout ce dont vous avez besoin pour effectuer ce travail. Je suis également là pour répondre à vos questions et pour vous accompagner sur ce chemin.
Lorsque nous sommes dépendant de quelque chose et que notre bonheur y puise son unique ressource, vient inévitablement le moment où cet appui disparaît. Nous vivons alors de la souffrance causée par la perte de ce qui nous rendait heureux.
Nous avons besoin de ces expériences douloureuses pour comprendre que notre bonheur n’est nulle part ailleurs qu’en nous-même. Et tant que nous entretiendrons cette illusion que le bonheur est ailleurs, nous souffrirons des éléments extérieurs.
Vous comprenez à présent que cet appui représente les petites roulettes de votre vélo d’enfant et que votre épanouissement nécessitera de les retirer pour vous rendre plus autonome et plus heureux(se).
Alors oui on tombe, oui ça fait mal parfois, mais personne n’a jamais remis de petite roulette une fois avoir appris l’équilibre.
Plus vous serez autonome, dans le sens capable de créer en vous un état choisi et moins vous serez dépendant de l’extérieur. Ce qui ne vous empêchera pas de partager votre bonheur.
De la même manière, cela ne signifie pas que vous n’aurez plus besoin de personne. Il y a seulement une différence entre « avoir besoin de » et « être dépendre de ».
Vous avez eu besoin des petites roulettes de votre vélo, vous n’êtes pas dépendant de vos petites roulettes à présent. Vous êtes autonome.
Votre pouvoir, c’est de décider de votre « état de bonheur » en vous, et ce, quelque soit ce qui se passe dehors.
Imaginez que vous êtes un poisson dans l’océan. Pour vous, que la mer soit plate ou déchainée en surface ne change pas grand chose, les profondeurs sont toujours aussi calmes. Par contre vous savez, vous avez l’information du temps qu’il fait en surface, vous en avez conscience.
Le temps qu’il fait dehors, les événements de votre vie, ont une influence sur vous, tout comme le vent sur la mer. Mais ce n’est qu’en surface et vous aurez beau faire tout ce que vous voulez, vous ne changerez jamais le calme immuable des profondeurs de l’océan. Et cela, tous les poissons le savent !
Tout est donc lié car il s’agit de la même mer, mais c’est vous qui décidez de la profondeur !
Ce principe de stabilité est d’ailleurs utilisé par les plateformes pétrolières semi-submersibles utilisant des blastts rempilent d’eau pour aller chercher la stabilité de la mer plus profondément. Ainsi, en pleine tempête, la plateforme bouge au rythme du « fond » et non de « la surface ».
En tant qu’humain, vous avez conscience de la tempête (les évènements), mais vous êtes au calme dans vos profondeurs. Les émotions circulent en vous, vous en avez conscience, vous êtes capable de percevoir la houle des émotions de tristesse ou de peur, vous ne les niez pas, ET vous êtes également en relation avec vos profondeurs immuables de paix, de stabilité, de joie, de sérénité, d’apaisement, de cofinance…
Vous êtes cet observateur, témoin de ce qui se passe en vous.
De ce point de vue, l’environnement est une information. Vous bénéficiez de cette info mais vous décidez de porter votre attention et de choisir les émotions qui vous sont bénéfiques.
Vous ne niez rien, bien au contraire. Vous êtes conscient(te) et responsable de votre état interne. Vous avez le « pouvoir » de votre bonheur.
De la même manière, cette capacité s’apprend. Je vous recommande de méditer pour acquérir ou retrouver votre stabilité intérieure.
Choisir son état interne c’est :
- Ne plus attendre de qui que ce soit ou de quoi que ce soit pour ressentir votre bonheur.
- Refuser que ce soit l’environnement qui décide de comment vous vous sentez
- Attirer à soi d’autres fréquences similaires à la vôtre.
- Retrouver son pouvoir
- Observer, et constater ce qui se passe, sans nécessairement « subir » ce qui se passe.
Notre véritable pouvoir c’est donc d’être capable d’observer notre état interne, de choisir celui-ci et de créer à partir de celui-ci.
Vous serez bien plus heureux(se) –la joie de vivre- si vous concevez et acceptez que nos émotions sont changeantes d’instant en instant.
Se sentir moins bien est normal
, utilisez à ce moment-là votre libre arbitre (votre pouvoir) et portez également votre attention sur votre état interne de joie, de paix, d’amour, d’enthousiasme, de confiance, de sérénité, de satisfaction, de contentement, de plénitude, d’apaisement…etc…
III. L’acceptation et le lâcher prise
Nous en avons parlé au début de cet article, il nous faut apprendre à dire OUI à la vie et cesser de résister contre elle pour ne plus souffrir.
Accepter ce qui est inéluctable. C’est-à-dire accepter ce qui est « présent » car le moment présent est inévitable. Accepter, c’est déjà moins souffrir.
Certaines choses sont suffisamment dures par nature, inutile d’y rajouter une difficulté supplémentaire en y résistant.
Vous tombez malade, un rhume par exemple. Le « Présent », la vérité, c’est donc que vous êtes malade.
Vous n’y pouvez plus rien, c’est comme ça, vous êtes enrhumé. Si vous refusez la maladie alors que vous l’avez pourtant belle et bien, vous ne faites que rajouter une contrainte supplémentaire à une chose déjà suffisamment pénible.
L’accepter pleinement, plutôt que d’y résister et de pester, c’est déjà aller mieux. Il y a un poids en moins. Il « ne reste plus » qu’à mettre tout en œuvre pour vous soigner. (Évitez les médicaments, c’est un rhume !)
De plus, si nous prenons en considération notre première croyance, à savoir que rien n’est anodin, cet évènement aussi indéniable et incontournable (vous ne pouvez pas dire que vous n’avez pas le rhume tout en parlant du nez !), est très certainement un message important à entendre.
Souvenez-vous, la vie est bienveillante et si son message est aussi évident qu’un nez rouge au milieu de votre figure, c’est qu’il est important.
Il en va de même pour toutes les maladies. Cherchez dans ce livre les messages de vos maux. Le grand dictionnaire des malaises et des maladies – Jacques Martel, vous saurez pourquoi vous êtes malade.
Voilà pourquoi la vie est une belle expérience dès lors que nous la comprenons et acceptons ces règles. Voyons à présent comment y jouer.
IV. Prendre la vie comme un jeu, et jouer !
Enfin, et pour finir cet article sur la joie de vivre, je vous propose de jouer !
Jouer ne veut pas dire ne pas être sérieux ou irresponsable, bien au contraire. Jouer c’est avant tout « mettre de la conscience » sur la vie en « testant », en SE testant, en sortant de ses habitudes, en osant dire et penser autrement…
Jouer c’est mettre en application ce que l’on vient de se dire plus haut : Essayer d’autres croyances, devenir responsable de son bonheur, lâcher prise.., et regarder ce qui se passe…
Vous en conviendrez, c’est très sérieux et très responsable.
Jouer c’est aussi cesser de refuser de vivre ce que vous n’aviez pas prévu. Accepter l’imprévu ! Être plus souple, c’est s’autoriser à changer d’avis également, c’est aussi cesser le jugement, c’est ce préoccuper un peu moins de ce que les gens pourraient dire, c’est avoir le droit de se tromper.., bref, c’est être humain et donc imparfait.
Jouez avec la vie c’est lui poser des questions :
Vous avez une idée ou une envie ? Vous lancez une petite action dans ce sens et vous observez comment la vie y répond. Vous ne vous « mouillez » pas, vous lancez juste un caillou dans l’eau et vous vous contentez de compter le nombre de ricochet.
Le premier indicateur pour savoir si vous continuez cette session de jeu se trouve en vous :
- Vous sentez-vous à l’aise avec cette action ?
- Avez-vous envie de la reproduire ?
En voici d’autre également :
- Même si cette action est éprouvante, vous stimule-t-elle ?
- Avez-vous de nouvelles idées et/ou envie après avoir posé cette première action ?
- Etes-vous naturellement convainquant(te) quand vous communiquez sur cette action ou les suivantes ?
Si les choses sont fluides pour vous, si vous vous sentez bien, si vous obtenez des retours positifs, alors vous continuez. Petit à petit il se peut que votre projet initial donne naissance à votre « projet de vie » dans lequel vous êtes une personne épanouie.
Si rien n’est simple, si tout est contrainte, si aucun résultat positif de votre point de vue n’en ressort : alors lancez un autre caillou.
Très rapidement vous serez de plus en plus à l’aise avec le « lancé de caillou », vous deviendrez alors un « créateur d’opportunité ».
Amusez-vous, vous ne risquez rien, la vie est bienveillante, elle vous montrera le bon chemin.
Ne « faites » pas uniquement pour le plaisir de « faire ».
Il n’est pas question ici d’instabilité mais bien de jouer de manière organisée et consciente avec une intention claire.
- Votre intention est de demander à la vie un « feedback » : Est-ce par là ou pas ?
- Votre intention est de progresser
- Votre intention est de vous trouver
- Votre intention est « d’être »
…Là est votre intention.!
Partez du postulat que vous ne connaissez pas les deux bouts de votre vie et que, de ce principe, vous ne savez pas encore de quoi sera fait votre épanouissement de demain.
Et si vous ne savez pas, il faut le demander. Et à qui ? Et bien à la vie elle-même !! Elle est la mieux placée pour vous répondre.
Comment s’y prend-on pour communiquer avec la vie ? : On essaie !
- « Jouer à osez » mettre en place ce qui vous tient à cœur.
- « Jouer à oser » devenir heureux,
- « jouez à oser » faire ce pour quoi vous êtes fait !
Après, c’est un peu binaire, ça marche ou ça ne marche pas. Mais parfois, ce n’est pas parce que ça ne marche pas immédiatement que ce n’est pas le bon projet pour autant : « Le moment » n’est parfois tout simplement pas le bon.
Mais là encore, vous le saurez au fond de vous et vous bénéficierez de nombreux feedback émotionnels et évènementiels qui vous permettront de vous diriger.
Poser une question à une personne, exécuter une action, prendre une décision… peut importe.. : Faites un « jeu » ne sais quoi, dans une intention de croissance. Voilà tout
Un des secrets pour bien essayer, c’est de ne pas avoir d’attente. Essayez pour le plaisir de découvrir, essayez pour savoir ou cela vous mène, bref, jouez et clarifiez vos INTENTIONS ci-dessus.
Parfois, le fait de demander de manière trop sérieuse ou trop grave provoque de la gêne ou de la honte. C’est le regard des autres, c’est la peur de se tromper, c’est le risque d’échouer…
Alors pensez à la série « Le Mentaliste » et faites comme « Patrick Jane » qui passe son temps à jouer avec son entourage.
- Très souvent il à tort
- Très souvent, il se trompe
- Très souvent il dit n’importe quoi !
- ET systématiquement, derrière ses apparences sereines, il n’a aucune idée de comment vont se résoudre ses affaires !
Pourtant, il est écouté, respecté et considéré comme une pièce maitresse de la résolution des énigmes de ses enquêtes.
Pourquoi ? Parce qu’il lance des cailloux ! Et sa force, c’est qu’il ne se prend pas au sérieux. Il joue, il demande, et la vie lui apporte le reste.
Demander en jouant, avec humour et légèreté dans le sens : « sans se prendre au sérieux », est un exercice bien plus simple que de tout voir de manière grave et chargé de conséquences.
Si vous n’avez pas d’idée et rien à demander à la vie, ne vous inquiétez pas et faites lui confiance, elle se chargera de vous proposer quelques amusements 😉
Si vous ne jouez pas avec elle, c’est elle qui viendra jouer avec vous 😉
Et si vous refusez le jeu, si vous restez sur vos positions, si vous résistez en somme, alors vous souffrirez, à court, moyen, ou longs thermes.., et donc, vous perdrez au jeu de l’épanouissement.
Alors on résume ce jeu :
- Soit vous grandissez et vous décidez de devenir heureux en expérimentant et en vous réalisant grâce aux messages de la vie, (ce qui implique de se remettre en question et de travailler sur votre « être » tout comme le sens de votre vie).
- Soit vous ne souhaitez pas faire ce travail et vous subirez tous les messages de la vie qui tentera de vous faire grandir.
C’est une décision à prendre. Et maintenant que vous connaissez les règles, c’est à vous de jouer !
Jouer avec la vie vous permettra de sourire et de rire de vos expériences, d’apprendre de celles-ci, de repousser sans cesse les limites de votre conditionnement de base.
Vous voilà heureux de vivre car tout cela à un sens. Vous avez retrouvé votre joie de vivre. Le rire est aussi important, voici de quoi vous marrer !
Dès que vous le souhaitez, laissez un commentaire ci-dessous puis un témoignage ici pour partager votre nouvelle joie de vivre. Etre heureux est possible, faites-le savoir !
Merci beaucoup !
Je vous souhaite de bien vous amuser et une belle joie de vivre
A bientôt
Maxime
Les articles qui devraient vous plaire :
- L’Echec : Une formidable opportunité !
- Pourquoi méditeriez-vous ? – Introduction
- 5 étapes pour réussir sa vie
- Comment faire de son métier une « vocation professionnelle » ?
- Comment sortir de l’insatisfaction
30 Responses
Félicitations pour cet article détaillé, qui rappelle les bases du bonheur…
J’apprécie particulièrement le rappelle que nous sommes responsables et autonomes ;
Et pour moi, personnellement, je vis en me disant :
« profite de chaque instant de vie, peu importe le sens et la force du vent, car c’est ça le bonheur »
Emmanuelle
Félicitations pour cet article détaillé, qui rappelle les bases du bonheur…
J’apprécie particulièrement le rappelle que nous sommes responsables et autonomes ;
Et pour moi, personnellement, je vis en me disant :
« profite de chaque instant de vie, peu importe le sens et la force du vent, car c’est ça le bonheur »
Emmanuelle
Merci de nous faire partager cet article. Les clefs du Bonheur, en c’est fait chacun d’entre nous qui les détenons, mais hélas certaines personnes n’ont pas encore trouvé le mode d’emploi. Certaines personnes sont tellement baignés d’illusions, d’idéal qu’ils n’arrivent pas à trouver le chemin du Bonheur et celui du bien-être intérieur. L’insatisfaction chronique leur mène la vie dure, ils n’ont d’ailleurs jamais ressenti la frustration depuis leur tendre enfance, que lorsqu’ils arrivent à l’âge adulte sont encore des enfants et continuent à faire des caprices. Eh oui, hélas encore à un certain âge avancé, certains sont restés des Peter Pan.
Qui n’a jamais été sous le charme d’un beau parleur alors qu’en réalité ce n’était qu’un sale gosse capricieux, égo-centrique et manipulateur( trop couvée par sa mère encore !!!!!)
C’est souvent lorsqu’on est tombé très bas dans la vie qu’on peut apprécier les choses, nous le savons tous la vie n’est pas un long fleuve tranquille, nous avons tous eu des moments difficiles dans nos vies. La traversée des tsunamis de la vie rend plus forts et plus mâture et permet de rebondir avec plus de philosophie. Alors il y en a qui s’en sorte à merveille, d’autres qui restent sur le carreau, comme dans un marathon. Bon courage à tous, croyez-vous, fuyez les personnes toxiques qui vous empêchent de concrétiser vos rêves, changer de vie quand c’est nécessaire, soyez égoïste de temps en temps, ne vous mentez pas à vous même, ni à votre moitié, soyez fidèle à vous même et à votre moitié. Le plaisir charnel ça fait du bien mais l’infidélité est dangereuse, surtout quand ça devient compulsif et difficile à maîtriser. Moi perso, préfère être seule que de me faire passer pour la cocu de service. Je tiens à ma réputation et ma fierté personnelle.
Croquez la vie à pleine dent. Osez rire de vous même, osez tout simplement, vous verrez, vous n’aurez pas fini de vous étonner, Eloignez-vous des gens toxiques, jaloux, des pervers narcissiques qui vous mettent plus bas que terre et qui sucent votre énergie.
Signée : une trentenaire qui aime la Vie et surtout ne pas se prendre au Sérieux et qui évite les gens toxiques
Merci de nous faire partager cet article. Les clefs du Bonheur, en c’est fait chacun d’entre nous qui les détenons, mais hélas certaines personnes n’ont pas encore trouvé le mode d’emploi. Certaines personnes sont tellement baignés d’illusions, d’idéal qu’ils n’arrivent pas à trouver le chemin du Bonheur et celui du bien-être intérieur. L’insatisfaction chronique leur mène la vie dure, ils n’ont d’ailleurs jamais ressenti la frustration depuis leur tendre enfance, que lorsqu’ils arrivent à l’âge adulte sont encore des enfants et continuent à faire des caprices. Eh oui, hélas encore à un certain âge avancé, certains sont restés des Peter Pan.
Qui n’a jamais été sous le charme d’un beau parleur alors qu’en réalité ce n’était qu’un sale gosse capricieux, égo-centrique et manipulateur( trop couvée par sa mère encore !!!!!)
C’est souvent lorsqu’on est tombé très bas dans la vie qu’on peut apprécier les choses, nous le savons tous la vie n’est pas un long fleuve tranquille, nous avons tous eu des moments difficiles dans nos vies. La traversée des tsunamis de la vie rend plus forts et plus mâture et permet de rebondir avec plus de philosophie. Alors il y en a qui s’en sorte à merveille, d’autres qui restent sur le carreau, comme dans un marathon. Bon courage à tous, croyez-vous, fuyez les personnes toxiques qui vous empêchent de concrétiser vos rêves, changer de vie quand c’est nécessaire, soyez égoïste de temps en temps, ne vous mentez pas à vous même, ni à votre moitié, soyez fidèle à vous même et à votre moitié. Le plaisir charnel ça fait du bien mais l’infidélité est dangereuse, surtout quand ça devient compulsif et difficile à maîtriser. Moi perso, préfère être seule que de me faire passer pour la cocu de service. Je tiens à ma réputation et ma fierté personnelle.
Croquez la vie à pleine dent. Osez rire de vous même, osez tout simplement, vous verrez, vous n’aurez pas fini de vous étonner, Eloignez-vous des gens toxiques, jaloux, des pervers narcissiques qui vous mettent plus bas que terre et qui sucent votre énergie.
Signée : une trentenaire qui aime la Vie et surtout ne pas se prendre au Sérieux et qui évite les gens toxiques
Bravo. ça donne l’envie de vivre d’un bonheur contagieux par le sourire et la simplicité des enfants.
Bravo. ça donne l’envie de vivre d’un bonheur contagieux par le sourire et la simplicité des enfants.
Très bel article.
Merci.
Très bel article.
Merci.
Âgé de 20 ans, dans une période plutôt difficile (grosse difficultés psychologiques, perte de la joie de vivre, peur de l’avenir, inquiétude par rapport a la relation avec ma petite amie) ou les choses qui m’entourent me font tout simplement comprendre qu’il est temps d’avancer et de grandir.. Votre article m’a fait le plus grand bien et je le relirais quand je n’irais pas comme je devrais aller dans une vie d’un jeune homme de 20 ans.
Je vous remercie
Âgé de 20 ans, dans une période plutôt difficile (grosse difficultés psychologiques, perte de la joie de vivre, peur de l’avenir, inquiétude par rapport a la relation avec ma petite amie) ou les choses qui m’entourent me font tout simplement comprendre qu’il est temps d’avancer et de grandir.. Votre article m’a fait le plus grand bien et je le relirais quand je n’irais pas comme je devrais aller dans une vie d’un jeune homme de 20 ans.
Je vous remercie
Bravo Maxime pour cet article. Très complet et structuré, et rempli d’humour/amour.
Bravo Maxime pour cet article. Très complet et structuré, et rempli d’humour/amour.
Merci beaucoup ce texte est très inspirant et plein d’optimisme! Bon, je vous avoue que je le lis sous l’emprise de quelque drogue, mais c’est parfait, car elle m’aide à ressentir ce qu’est mon bonheur alors j’ai envie d’appliquer ces conseils pour pouvoir ressentir ce bonheur même sans drogue! Merci mille fois!
Merci beaucoup ce texte est très inspirant et plein d’optimisme! Bon, je vous avoue que je le lis sous l’emprise de quelque drogue, mais c’est parfait, car elle m’aide à ressentir ce qu’est mon bonheur alors j’ai envie d’appliquer ces conseils pour pouvoir ressentir ce bonheur même sans drogue! Merci mille fois!
Bonour,
je n’ai strictement rien compris a tout ceci O_o ! Suis-je un cas désesperé ?
Bonour,
je n’ai strictement rien compris a tout ceci O_o ! Suis-je un cas désesperé ?
C’est très instructive cet article, je dirais que c’est une direction pour ce qui veulent avancer
C’est très instructive cet article, je dirais que c’est une direction pour ce qui veulent avancer
Un des meilleurs articles que j’ai parcourus ! Et je peux vous assurer que j’en ai vu, lu, parcouru !
J’étais triste au moment où j’ai cherché de l’aide et ouvert Google et je suis tombée sur vous, merci, merci …vous avez fait votre B.A avec votre message…
MERCI !
Un des meilleurs articles que j’ai parcourus ! Et je peux vous assurer que j’en ai vu, lu, parcouru !
J’étais triste au moment où j’ai cherché de l’aide et ouvert Google et je suis tombée sur vous, merci, merci …vous avez fait votre B.A avec votre message…
MERCI !
Bonjour
Merci Maxime
C’était vraiment super utile
Je crois le loi d’atraction aussi .
Bonjour
Merci Maxime
C’était vraiment super utile
Je crois le loi d’atraction aussi .
Merci pour cette leçon de vie. Cela vient confirmer ce que certains vivent déjà sans se rendre compte. Cela m’a fait du bien et je vous dis merci et vous encourage toujours.
Merci pour cette leçon de vie. Cela vient confirmer ce que certains vivent déjà sans se rendre compte. Cela m’a fait du bien et je vous dis merci et vous encourage toujours.
Merci Toni pour ce retour,
À bientôt
Maxime
[…] ressent une baisse d’énergie, d’ambition, d’enthousiasme. La joie de vivre n’est plus là, et bien d’autres ressentis qui varient selon la personne et la situation […]
[…] ressent une baisse d’énergie, d’ambition, d’enthousiasme. La joie de vivre n’est plus là, et bien d’autres ressentis qui varient selon la personne et la situation […]
si vous n etes pas heureux aujourdhui plutot maintenant vous ne le serez jamais lorsqu une porte se ferme une autre plus grande s ouvre non loin il suffit de se retourner
si vous n etes pas heureux aujourdhui plutot maintenant vous ne le serez jamais lorsqu une porte se ferme une autre plus grande s ouvre non loin il suffit de se retourner