Je vous parle aujourdâhui du sujet passionnant des conflits sous lâangle des Ă©motions et des blessures. Si ce qui nous arrive nâest pas le problĂšme, dâoĂč viennent alors ces conflits ?
- En tant quâhumains, nous ressentons des Ă©motions et avons TOUS des BLESSURES. Cela peut induire un mĂ©canisme de comportement automatique dans nos relations.
- Par ailleurs, chacun a ses filtres en fonction de sa propre expĂ©rience et INTERPRĂTE les choses Ă sa maniĂšre.
Je vous explique tout ça dans cette nouvelle vidéo !
Bon visionnage
Maxime
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- Laissez vos questions et vos commentaires sous cette vidĂ©o đ

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đ Le rĂ©veil de la Blessure, et donc du Conflit
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1. Qui dit « humain », dit « blessure »
Puisque nous sommes humains, nous avons toutes et tous des Ă©motions et des blessures. Certaines sont conscientes, dâautres encore inconscientes.
Détecter une blessure est assez simple : ce sont toutes ces choses qui nous :
- mettent en réactions,
- heurtent,
- blessent.
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2. Tout commence par une histoire banale
Un petit rien, une discussion classique, ordinaire⊠Et puis un mot, une parole, un geste vient « activer » un « je ne sais quoi », qui me laisse perplexe, dubitatif(ve), contrariĂ©(e), vexĂ©(e), blessĂ©(e), touchĂ©(e)…
- Option #01 : « Jâai conscience de cette blessure (peut-ĂȘtre je la connais dĂ©jĂ ) »
Si câest le cas, je NE « rĂ©agis » PAS Ă cette « information » qui fait mal. En effet, jâai conscience de sa prĂ©sence, je sais quâelle mâappartient, et je suis mĂȘme en mesure de faire part de sa prĂ©sence Ă mon interlocuteur.
đ Cet Ă©change relĂšve encore davantage le dĂ©bat, notre relation nâen est que plus belle.
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- Option #02 : « Je N’ai PAS conscience de cette blessure (je ne la connais pas encore)«Â
Cette fois-ci, je ne dispose pas du recul nĂ©cessaire. La blessure me frappe alors de plein fouet, je suis sous lâeau et je bois la tasse.
đ Ma rĂ©action peut ĂȘtre alors INTERNE (comme le mutisme par exemple) ou EXTERNE (comme une explosion de colĂšre).
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3. Les interprétations de chacun(e)
Si je suis touchĂ©(e), il se peut que mon interlocuteur le voit. Son INTENTION nâĂ©tant certainement pas celle de me faire du mal, il est souvent Ă mĂȘme de me demander pardon.
đ Il nâest pourtant pas le responsable de MA blessure, mais peut comprendre quâil lâa rĂ©veillĂ©e.
Cet échange est la plupart du temps riche et profond.
Il se peut également que ma réaction, trop violente, trop brutale ou trop virulente, le touche à son tour.
- Sâil est Ă mĂȘme dâen discuter, car il connait cette blessure, tout sâarrangera, et nous rions de cette rĂ©action en chaĂźne đ
- Sâil ne dispose pas du recul nĂ©cessaire, un conflit s’amorcera, tous deux convaincus que le problĂšme vient de lâautre !
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