Comment rencontrer des personnes qui ne me vampirisent pas, qui m’aiment et me respectent vraiment ?
Dans cette nouvelle vidéo, vous comprendrez pourquoi Marie se pose cette question et quelles sont les solutions à mettre en place pour y répondre, ou simplement, pour qu’elle ne se la pose plus !
Après avoir vécu plusieurs années avec un pervers narcissique, avec qui elle a choisi de continuer malgré le mal être et les souffrances qu’elle subissait, Marie a décidé de partir, pour être enfin heureuse !…
Bonne écoute
Maxime
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🔎 Comment ne pas se faire vampiriser et se faire respecter ?
La version MP3
I). La notion de priorité
En réalité, la question de Marie n’est pas la bonne, il y a d’autres choses à régler avant de répondre à cela ! La réponse à cette question sera la conséquence d’autres notions qui viendront avant.
En effet, on ne peut pas entrer dans une relation en espérant que l’autre vienne répondre à nos propres besoins, car c’est ainsi que commence la dépendance affective.
- Marie doit avant tout remettre de l’ordre dans ses priorités, et la première de ces priorités, c’est : ELLE-MÊME !
- Marie doit se redonner la première place et devenir la personne LA PLUS IMPORTANTE de sa vie !
II). Le sens de la vie et les apprentissages qui vont avec
Le fonctionnement de la Vie, de l’Univers, par le principe de création, fait qu’il nous arrive à tous des évènements qui viennent mettre en évidence ce que l’on porte en soi.
Dans le cas de Marie, restant dans une situation qu’elle sait néfaste pour elle, le message est clair et cela illustre
- Un manque d’amour, d’estime et de respect envers elle-même,
- L’espoir implicite que quelqu’un lui donne et fasse ce qu’elle-même ne fait pas pour elle.
La vie sur Terre sert à se connaître, à monter en conscience, pour créer la vie qu’on souhaite avoir.
Toutes ces circonstances nous permettent alors de mettre en évidence ce qui nous empêche d’aller vers notre VRAIE vie :
- la culpabilité,
- la peur d’assumer,
- la notion d’échec,
- etc.
Les évènements vécus sont de véritables opportunités de comprendre ce sur quoi l’on doit travailler pour devenir enfin la belle personne que l’on est déjà. C’est le chemin de la petite âme.
III). La nécessité d’être autonome
En ce qui concerne Marie, il est indispensable qu’elle commence par « s’Autonomiser« , afin de sortir de la dépendance et de l’attente que quelqu’un vienne la sauver. C’est également la seule manière pour répondre à sa question et attirer des personnes qui l’aiment et la respectent.
🍀 Pour cela, il lui faut être en mesure :
- de s’aimer,
- de s’accepter,
- de se donner à elle-même ce qu’elle demande à l’autre.
Et c’est ainsi qu’on répond à cette question : comment attirer des personnes qui m’aiment et me respectent ? : en s’aimant soi-même !
À ce moment-là, les personnes qui ne vibrent plus cette même intention, n’entrent plus dans notre vie. C’est le principe de la loi d’attraction. Nous attirons les polarités similaires, et repoussons les polarités contraires…
Plus nous sommes alignés et en adéquation avec ce que nous voulons, et plus nous attirons ce reflet, ce miroir dans nos vies. Nous créons notre propre vie.
La vie ressemble à une pièce de théâtre que nous écrivons chaque jour…
IV). Les solutions : les Essences et l’accueil émotionnel
Pour se (re)donner la priorité et s’autonomiser, il existe deux solutions :
1). Installer ses Essences : s’écouter !
- Qu’est-ce qu’il est Essentiel pour moi de ressentir pour me sentir bien ? (voir cet article pour plus de détails : Essence / Qualité / Forme – Qu’est-ce-que je veux VRAIMENT ?)
- Est-ce que je me sens bien dans la relation ? Si oui, alors je continue, si non, alors j’arrête
C’est aussi simple que ça ! Et comme je suis déjà heureux(se) par moi-même et pour moi-même, cela se fait en toute simplicité.
2). Accueillir son monde émotionnel :
🍀 Avec un accompagnement personnalisé, apprendre à accueillir ses émotions, à les gérer, pour arrêter de subir ses peurs, pour être AUTONOME ! On s’affranchit alors de tout ce qui nous empêche d’aller vers le monde.
Pour résumer,
Marie, pour atteindre l’objectif dont tu nous parles ici, il te faut redonner une place à ta priorité :
- Toi-même !
- Comment ? En te rendant autonome.
- Pourquoi ? Parce que tu n’es pas là pour que quelqu’un comble un vide en toi.
- La méthode ? Installer tes Essences et accueillir ton Monde Émotionnel.
Fais-nous un retour sur ton expérience, dis-nous ce que tu mets en place et comment tu avances vers ta nouvelle vie de bonheur !
🔎 Comment rencontrer des personnes qui m’aiment vraiment et me respectent ?
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Grâce à ces outils, nous avançons ensemble vers le bonheur et la réalisation de soi !
À bientôt !
Maxime
La question de Marie :
Bonjour Maxime,je suis ton blog depuis quelques semaines maintenant. Je le trouve très intéressant et je lis tous tes articles quand j’ai le temps. Cela m’encourage à vouloir être heureuse!J’ai été mariée pendant 16 ans à un pervers narcissique. Je pense que très vite après quelques mois de mariage, je me suis rendue compte qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas dans notre couple mais le dialogue était impossible avec mon conjoint. Dès que je voulais expliquer mon mal-être, il coupait court à la conversation en me disant que le problème venait de moi et non de lui. J’ai vécu « un enfer psychologique » que je n’ai pas fui pendant toutes ses années. J’avais peur de partir, convaincue que je n’étais pas capable de m’en sortir seule. Je n’osais en parler à personne car je vivais cet échec comme la pire catastrophe de ma vie et je pensais que personne ne croirait. Il me dénigrait sans cesse : « Tu es bête! » « Tu ne sais pas t’organiser. » « Cela arrive par ta faute ». Il n’y avait pas de violence physique mais psychologique : il me méprisait, quittait la pièce quand je lui parlais, … Jamais un merci, jamais un compliment, jamais un « je t’aime ». Pendant les rares moments où il acceptait de parler, il me disait que ce n’était pas de sa faute ce qui nous arrivait, qu’il n’avait pas été aimé lorsqu’il était enfant et que je ne pouvais pas le comprendre car moi, j’avais reçu de l’amour de mes parents. Je croyais que mon amour allait le changer. J’étais persuadée que si j’arrivais à lui montrer assez d’amour, il guérirait. Il ne se remettait jamais en question et il parvenait à me culpabiliser de tout ce qui ne fonctionnait pas. Après sept ans de mariage, je suis parvenue à le convaincre enfin d’avoir un enfant. Bien sûr, cela a été pire après. Il m’a ignorée toute ma grossesse, je ne pouvais pas compter sur son soutien. J’ai beaucoup pleuré; pour la première fois, j’ai envisagé de le quitter mais je n’ai osé en parler à personne. Puis je me suis raisonnée en me disant que je ne pouvais pas faire cela à mon enfant, que je ne pouvais pas le priver de son père. J’ai mordu sur ma chique et je suis restée avec lui en me disant que je le quitterai quand notre fils serait majeur. Quand notre fils a eu 5 ou 6 ans, la situation s’est encore dégradée. Lorsque mon fils s’opposait à moi, il le soutenait en me demandant ce que je lui avait fait pour qu’il se mette en colère contre moi. C’était toujours de ma faute. Mon fils déprimait, il parlait de se tuer alors qu’il n’avait que 6 ans; ce qui faisait rire son père qui lui a, un jour, tendu un couteau en lui disant : »Fais-le! ». Mon fils a commencé aussi à me « tyranniser » comme il voyait son père le faire. J’ai donc fait suivre notre fils par un pédopsychiatre. J’ai alors décidé de demander le divorce quand il aurait 12 ans. J’ai été suivie par une psy pendant environ un an et demi mais je n’allais pas mieux. J’étais contente d’être écoutée mais je ne prenais quand même aucune décision. Auprès de mes amies, j’avais peur de craquer, donc je me taisais. J’avais aussi peur de faire de la peine à mes parents qui me disaient quand j’abordais le sujet d’une séparation : « Pense à ton fils! ». Ils voyaient bien que notre couple était en crise mais ils ne se doutaient pas de l’ampleur des dégâts. J’ai finalement osé me confier à ma meilleure amie, à mes soeurs et je me suis rendue compte que je devais le quitter pour sauver mon fils (pas encore pour me sauver moi!). J’ai appris qu’il harcelait d’autres personnes au boulot. Je me suis alors dit que je n’étais pas responsable du mal qu’il faisait et j’ai demandé le divorce. Notre fils avait 9 ans. Voilà 3 ans que j’ai divorcé et je commence seulement à ne plus avoir peur de mon ex-mari et pourtant il a continué tant qu’il pouvait à manipuler notre fils contre moi chaque fois qu’il le pouvait. J’ai dû subir les agressions de mon fils qui devenait son intermédiaire. Je vis seule car j’ai dû me résoudre à ce que mon fils soit interne pour pouvoir souffler un peu et essayer de me reconstruire mais je n’y arrive pas encore. Je souffre toujours de solitude bien que je travaille, que j’ai plusieurs véritables ami(e)s sur qui j’ai pu compter dans ces moments difficiles. Je rêve de rencontrer l’amour mais j’ai peur car il semble que j’attire toujours des personnes qui me dominent, m’utilisent sans m’aimer vraiment. J’essaie maintenant de trouver pourquoi cela m’arrive mais je n’ai pas encore trouvé la réponse. Dans mon enfance, j’ai eu une seule amie de 6 à 12 ans et une seule amie de 12 à 18 ans et ces amies me tenaient dépendante; je n’osais jamais m’affirmer. Avant de connaître mon mari, je suis sortie pendant trois ans avec un garçon que j’aimais, avec qui je rêvais de faire ma vie alors que lui aimait une autre qui ne voulait pas de lui. Quand il me l’a dit à peine trois mois après le début de notre relation, j’ai voulu rompre mais il m’a supplié de ne pas l’abandonner; donc, nous sommes restés ensemble jusqu’à ce que son premier amour lui revienne. Et là, c’est moi qui ai rompu car il n’osait pas le faire. Trois ans après, je rencontrais mon mari et le scénario se reproduisait en plus catastrophique… Je vois une thérapeute environ deux fois par mois; cela m’aide mais je voudrais que cela aille plus vite. Malgré ce soutien, je n’arrive toujours pas à choisir ce qui me plait vraiment et cela dans tous les domaines (vêtements, couleurs ou objets dans ma nouvelle maison, …). Je pense que je suis restée tant d’années à accepter les choix des autres que je n’arrive plus à exprimer les miens.Ma question est « comment rencontrer des personnes qui ne me vampirisent pas et qui m’aiment vraiment en me respectant? ». Si je suis très à l’aise avec ma famille et mes amis (Je parle souvent beaucoup trop!), je suis par contre tétanisée lorsqu’il s’agit de parler à des personnes inconnues : je fuis ou je suis parfois malade physiquement. Il n’est donc pas possible de faire des rencontres de cette façon. Avant je me disais que je n’étais pas heureuse mais je ne me considérait pas vraiment comme malheureuse. J’arrivais à supporter ma vie en me disant qu’il y avait beaucoup de gens plus malheureux que moi ! Maintenant, je veux être heureuse.Marie
6 Responses
Bsr Maxime , je pense être 1 personne pn et être régulièrement (depuis tte jeune) attirée sans m’ en rendre compte par des pn .
J ai eu énormément d amour maternel pour mes enfants ( heureusement) et à un moment donné j ai renoncé complètement aux rencontres sentimentales pr le bien de mes enfants , pr leur donner un cadre de vie équilibré. Pr ma 1ère fille je lui ai malheureusement fait souffrir mais je me suis excusée plusieurs fois et de façon sincère avc des explications afin qu elle puisse comprendre le pourquoi. Je dois pr ne pas souffrir et faire souffrir ma famille renoncer aux relations sentimentales c est la seule solution. J évite et renonce à présent aux personnes toxiques (je les reconnais maintenant ). je profite des bienfaits de la vie de ts les jours, le bien être, quelques sorties cest la seule façon que j ai trouvé pr mieux vivre.Je pense que je ne pourrai plus jamais avoir une vraie vie de couple car je suis vite agaçée par le quotidien avc un homme. Bref je suis pn et je dois faire avc . Juste pr info Maxime les personnes pn ressentent des sentiments , aiment les calins , aiment partager des choses en couple mais le problème c est que ça ne dure pas car au moindre signal d alerte elles se détachent même si ça les fait souffrir , elles surmontent tant bien que mal mais renonce à l a personne . Voilà comment ça se passe et comment une persoonne pn fonctionne .
Ce message commentaire un peu ds le but d avoir un avis 🙂 Merci d avance!
je suis engluée dans une relation toxique, depuis 12 ans, et je n’arrive pas à m’en sortir.
nous ne vivons pas ensemble.
je suis en stress permanent, je suis une femme autonome qui gère sa famille, deux enfants 30 et 24 ans, qui gère une activité prof mais dans la vie privée c’est une catastrophe.je vois une psy depuis longtemps mais n’arrive pas à m’en sortir.
Bonsoir Maxime,
J’ai écouté ta vidéo avec attention et j’ai reconnu mon histoire. Je t’avais envoyé ce témoignage il y a quatre ans. J’ai beaucoup avancé depuis. J’ai entamé un suivi psychologique depuis trois ans avec une psy spécialisée dans l’aide aux victimes de violence psychologique. Tout n’est pas encore parfait mais je progresse. Après 7 ans de célibat, j’ai rencontré quelqu’un il y a deux mois. Je pensais avoir trouvé quelqu’un qui me respectait car nos premiers échanges allaient dans ce sens mais très vite j’ai commencé à me sentir mal. Mon corps m’a lâché et le médecin m’a mise au repos pendant quatre semaines. J’ai alors compris le signal car à nouveau je m’engageais dans une relation qui n’allait pas me faire du bien. Même si j’ai toujours envie de rencontrer l’amour, je crois que je me respecte assez pour dire que la relation ne me convient pas. Je suis triste mais je me dis que je m’en remettrais car je ne veux plus être malheureuse. Je ne m’aime pas encore à 100 % mais bien plus qu’il y a 7 ans. Je fais aussi tout un travail sur mon enfance pour trouver pourquoi j’ai tellement besoin d’amour et pourquoi j’ai tellement peur de l’abandon.
Merci pour tes vidéos.
Marie
Bonjour Marie,
Je suis content d’avoir de tes nouvelles et de constater la progression ! Bravo à toi !
Tiens-nous au courant de la suite !
À bientôt
Maxime
Bonjour Fétilleux,
N’hésitez pas me demander un coup de main ! Ne restez pas dans une situation de souffrance…
Bon courage
Maxime
L’histoire de Marie m’attriste. En fait, la lecture de celle-ci me permet de faire attention quant au choix d’une âme-sœur. Car je me rends désormais compte qu’il peut y avoir des personnes qui font preuve de son caractère du pervers narcissique à notre encontre, ne sachant que nous faire du mal, oui, nous torturer psychologiquement de manière à passer les frontières de l’hexagone. Merci pour cette anecdote Marie, merci aussi au rédacteur de l’article.