Pour bien avancer dans son cheminement, un petit cours de vocabulaire s’impose, car la confusion est omniprésente entre :
- « bonheur« et « plaisir«
- « condition de vie« et « épanouissement«
Pourtant, il est indispensable de les différencier et cette compréhension est fondamentale pour accéder à davantage de croissance.
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Le bonheur
Le bonheur c’est ce « Graal » , cette chose essentielle que tout le monde souhaite ! Personne ne se lève le matin en souhaitant souffrir pendant sa journée, c’est évident !
Chacun d’entre nous souhaite être heureux. Les plus pudiques n’oseront peut être pas l’avouer mais c’est pourtant bien le cas 😉
Nous n’aborderons pas ici le cas de certaines maladies mentales qui poussent l’individu à s’auto-détruire.
Notre souhait le plus grand est donc d’atteindre le bonheur, et tant mieux, car c’est aussi le plus simple !
Aussi surprenant que cela puisse paraitre, le bonheur est instantanément accessible et disponible, car le bonheur est un état interne.
🍀 Le bonheur est une émotion et est donc présent tout le temps !
Il ne reste plus qu’à apprendre à s’y connecter. Pour cela, vous avez besoin d’apprendre à :
- Reconnaître les différentes émotions présentes
- Installer volontairement une émotion choisie, à savoir celle du bonheur !
Toutefois, certains éléments peuvent venir s’interposer dans l’installation de cet état interne :
- Votre système de croyance
- Votre mental
- Certains mécanismes de défenses
Rien d’anormal à cela, notre identité se sent menacée par ce changement. Aussi fou que cela puisse paraître, nous sommes identifiés à cette souffrance, c’est une partie de nous.
Devenir heureux c’est « renoncer » à être malheureux.
📌 Renoncer au malheur, c’est perdre cette partie de nous-même. Et notre ego ne le supporte pas, il a peur de mourir !📌
C’est pourtant un mal nécessaire ! Certes nous rentrons dans l’inconnu et cela oblige à sortir de sa zone de confort. Mais sans cela, le bonheur ne sera pas au rendez-vous. C’est à prendre ou à laisser…
🍀 Le bonheur est donc émotionnel et par conséquent, accessible en permanence.
- Selon Wikipédia, le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction. Un état agréable et équilibré de l’esprit et du corps, et d’où la souffrance, le stress, l’inquiétude et le trouble sont absents.
Le terme « état » confirme la présence d’une émotion. C’est un peu comme dire : « comment te sens-tu, dans quel état es-tu ? » . Il est bien question d’une émotion, d’un état interne.
Le plaisir
Le plaisir quant à lui, est temporaire et dépend des actes et/ou des évènements qui se manifestent sur le plan terrestre et physique. Il est relié au monde extérieur.
Même s’il peut parfois apporter une sensation agréable qui s’apparente à l’émotion de bonheur, le plaisir n’est en aucun cas le bonheur !
Le plaisir est lié à mon statut et à ce que je peux faire sur terre : je fais pour avoir des choses qui me font plaisir. Le plaisir a donc une fin dépendante, elle-même dépendante de ce que vous êtes en train de faire.
📌 Le plaisir est ponctuel et généré par des conditions de vie, et non à quelque chose d’émotionnelle et durable comme le bonheur.📌
Et c’est un problème car la confusion est bien présente !
C’est comme ce bon gâteau qui nous fait plaisir en le dégustant. Mais une fois celui-ci englouti, le plaisir s’estompe et disparaît aussitôt. Nous pouvons même en être écoeurés et nous en vouloir pour cela.
- Selon Wikipédia, le plaisir est une sensation agréable et recherchée. À l’opposé existe le déplaisir (malaise, mécontentement, désagrément…). Le plaisir a un grand nombre de termes plus ou moins synonymes (contentement, volupté, satisfaction, délices, régal, jubilation…) qui désignent des variétés plus ou moins subtiles de l’expérience. Mais le mot « bonheur » n’est pas évoqué pour désigner le plaisir !
📌 En somme, si vous confondez bonheur et plaisir, vous serez obligés d’obtenir sans cesse des plaisirs pour vous sentir heureux.📌
Bien sûr, comme il est impossible de remplir un puit sans fond, vous finissez par être malheureux. Parfois sans même comprendre pourquoi !
C’est ainsi que certaines personnes finissent par s’épuiser en courant à la recherche du « bonheur » par la multiplication de plaisirs. Il s’agit quoiqu’il en soit d’une quête sans fin qui mène tôt ou tard, mais inévitablement, à la souffrance…
Les conditions de vie
Les conditions de vie appartiennent au temps. Elles sont rattachées au passé et au futur. C’est ce qui se voit ou se voyait, ce qui peut être montré.
En règle générale, il y a un amalgame entre le bonheur et les conditions de vie. Beaucoup pensent que le bonheur viendra de certaines conditions de vie:
- « Je serai heureux quand j’aurai ceci »
- « Tant que je ne suis pas cela, je ne peux pas être heureux »
Ces réflexions sont la plupart du temps basées sur des possessions matérielles
.
Evidemment, c’est de l’illusion. Vous pouvez avoir les conditions de vie les plus avantageuses, posséder tous les biens du monde et pourtant être profondément malheureux dans votre prison dorée !
L’inverse est également vrai, le bonheur n’a besoin de rien pour « être ».
📌 Vous pouvez cocher toutes les cases : mari/femme, enfant(s), travail, voiture, maison, etc… et être malheureux.📌
Dans ce cas, entendez « malheureux » comme « pas pleinement heureux » ou encore « pas épanoui ». Peut-être même ressentirez-vous un brin de culpabilité en vous trouvant passablement heureux malgré tout ce que vous avez !
Il s’agit donc plus d’un problème d’ego, le « je me prends pour ce que j’ai et ce que je fais » , qu’une vraie problématique d’épanouissement. C’est une identification à notre personnage lié à l’environnement que nous défendons.
🍀 Mais peu importe, savoir faire la différence entre « conditions de vie » et « bonheur » est déjà énorme !
A chacun d’entre nous de faire la part des choses et de choisir vers où tourner son regard pour trouver son bonheur : À l’intérieur ou à l’extérieur !
Les conditions de vie peuvent générer du plaisir comme l’inverse. Le bonheur lui, se moque des conditions de vie.
L’épanouissement
L’épanouissement est un résultat, une conséquence et une concrétisation de votre bonheur appliqué à chacune de vos actions. Il ne se commande pas, il est la résultante de votre état interne dans tout ce que vous entreprenez.
Aussi, pour mesurer la qualité de vos actions, vous pouvez vous posez ces questions :
- Quelles sont mes intentions ?
- Quel état interne m’accompagne actuellement ?
- Est-ce que je suis en train d’agir en conscience ? En étant présent(e) ?
Les dictionnaires ne sont pas très explicites sur ce sujet, toutefois, certains mots sont récurrents.
🍀 Il est synonyme de plénitude, réussite, bonheur, summum, éclat, éclosion, floraison…
L’épanouissement découle de cette conscience. Il ne se commande pas, il se travaille.
Deux mondes se dessinent et s’opposent dans un premier temps :
- celui du personnage, du mental et de l’ego
- puis celui de l’être, des états internes et du bonheur
Conclusion
1. L’illusion provoquée par notre mental est donc de croire que le bonheur se trouve dans nos conditions de vie. Celles-ci ne peuvent apporter que du plaisir dans le meilleur des cas, jamais du bonheur.
2. Le bonheur se trouve dans notre propre capacité à générer un état émotionnel (état interne) de l’ordre du bonheur.
3. Si nous récoltons ce que nous semons, le bonheur est la semence de l’épanouissement.
4. Concrètement, plus nos actions sont motivées par un état interne de l’ordre du bonheur, et plus la vie, par résonance, fait écho à cet état. On dit que la vie nous sourit !!!
Ce n’est pas à la vie de faire le premier pas ! « Tant que ça ne marche pas, je n’y crois pas ! » C’est à chacun d’entre nous de faire confiance à la vie, d’entretenir et d’alimenter cette croyance que la vie est belle et qu’elle peut nous sourire !
📌 Sans cette conviction, notre état interne à un goût de doute et d’inquiétude plutôt que de confiance et d’amour. Nos actions en sont donc imprégnées, et le résultat équivalent !📌
Ce système est bienveillant, la vie nous montre ce sur quoi il est utile et nécessaire de travailler, rien n’est le fruit du hasard.
🍀 Plus nous sommes capables de les interpréter et plus la croissance s’opère, et plus le bonheur et l’épanouissement arrivent !
Même si le principe reste simple, il est parfois nécessaire d’utiliser des outils :
- la méditation par l’état de présence, a beaucoup d’effets positifs pour y arriver
- l’accompagnement personnalisé permet également de vous aider à avancer selon là où vous en êtes. Mes méthodes d’accompagnement ont fait leur preuve auprès de nombreuses personnes. Découvrez-les ici 😃
Maintenant, dites-moi :
- Faites-vous bien la différence entre ces mots ?
- Qu’est-ce qui vous empêche à présent d’être épanoui ?
🍀 Si cette distinction est limpide, il est fort probable que vous faites partie des ces gens heureux !
Pour aller plus loin dans votre progression :
- Suivez la Visite Guidée du Bonheur pour être plus heureux(s) dans 1 mois ! ça MARCHE !
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- Psychologie positive : La vie nous veut du bien !
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42 réponses
petite mise au point simple et nécessaire.
petite mise au point simple et nécessaire.
Bonsoir Maxime Merci pour cette précieuse distinction entre Bonheur et Plaisir. Regarder vers « l’intérieur ou l’extérieur » Très belle définition que je commence à apprécier et reconnaître Et qui me permettra à faire un grand pas en avant pour pouvoir accéder au Bonheur VRAI
J’éprouve 1 sentiment de joie profonde et combien bienfaitrice à la pensée Maxime de te retrouver chaque jour J’éprouve 1 besoin sincère de me libérer de beaucoup de tracas intérieurs qui me minent
Je dois pouvoir m’exprimer pour me libérer
D’AVANCE MERCI MAXIME DU FOND DU COEUR
Bonsoir Maxime Merci pour cette précieuse distinction entre Bonheur et Plaisir. Regarder vers « l’intérieur ou l’extérieur » Très belle définition que je commence à apprécier et reconnaître Et qui me permettra à faire un grand pas en avant pour pouvoir accéder au Bonheur VRAI
J’éprouve 1 sentiment de joie profonde et combien bienfaitrice à la pensée Maxime de te retrouver chaque jour J’éprouve 1 besoin sincère de me libérer de beaucoup de tracas intérieurs qui me minent
Je dois pouvoir m’exprimer pour me libérer
D’AVANCE MERCI MAXIME DU FOND DU COEUR
Bonoir Maxime ,
Le BONHEUR vient de l’intérieur est presqu’une parole MAGIQUE
Je m’y conventre bien sincèrement
Bonoir Maxime ,
Le BONHEUR vient de l’intérieur est presqu’une parole MAGIQUE
Je m’y conventre bien sincèrement
Désolée je m’y concentre bien sincèrement
Désolée je m’y concentre bien sincèrement
alors le bonheur n’est pas dans le pré ? … mais il est si près de nous qu’il serait intérieur, en nous. Et s’il est en nous alors il est tout le temps présent ! Il ne reste plus qu’à le découvrir pour le voir apparaitre. Merci de votre site…
alors le bonheur n’est pas dans le pré ? … mais il est si près de nous qu’il serait intérieur, en nous. Et s’il est en nous alors il est tout le temps présent ! Il ne reste plus qu’à le découvrir pour le voir apparaitre. Merci de votre site…
Bonjour,
je m’interroge sur le fait que si le bonheur est intérieur, nous pouvons alors être tout le temps heureux. Mais cela signifie alors que nous pouvons tout accepter et être heureux dans n’importe quelle situation, puisque ce n’est pas la situation qui nous rend heureux ou malheureux mais c’est inscrit en nous ?
Je ne sais pas si je suis très claire…
Bonjour,
je m’interroge sur le fait que si le bonheur est intérieur, nous pouvons alors être tout le temps heureux. Mais cela signifie alors que nous pouvons tout accepter et être heureux dans n’importe quelle situation, puisque ce n’est pas la situation qui nous rend heureux ou malheureux mais c’est inscrit en nous ?
Je ne sais pas si je suis très claire…
Bonjour,
Je m’intéresse depuis peu aux notions présentes dans cet article et plus largement aux notions de l’ici-maintenant, de la présence etc…
Il y a un aspect qui me « dérange » (j’utilise ce mot car je n’arrive pas à en trouver un plus parlant) dans tout ça et j’aimerais connaître votre (à tous) point de vue : Si le bonheur est le graal qui nous procure un sentiment de bien-être, de contentement c’est donc quelque chose à viser. Mais nous savons également que certaines situations dans la vie amène de la tristesse, du mal-être ou autres émotions (négatives?). Face à ses situations et avec vision « sacrée » du bonheur comment ne pas se sentir en échec face aux réactions naturelles (qui font de nous des humains) que sont la tristesse, le doute, la peine ? « Simplement » en les acceptant, les comprenant, les regardant d’un oeil extérieur tourner vers l’intérieur ?
Ma question n’est pas forcément claire, aussi en essence je m’interroge sur de culpabilité face à l’échec (ponctuel) dans la recherche du bonheur.
Bonjour,
Je m’intéresse depuis peu aux notions présentes dans cet article et plus largement aux notions de l’ici-maintenant, de la présence etc…
Il y a un aspect qui me « dérange » (j’utilise ce mot car je n’arrive pas à en trouver un plus parlant) dans tout ça et j’aimerais connaître votre (à tous) point de vue : Si le bonheur est le graal qui nous procure un sentiment de bien-être, de contentement c’est donc quelque chose à viser. Mais nous savons également que certaines situations dans la vie amène de la tristesse, du mal-être ou autres émotions (négatives?). Face à ses situations et avec vision « sacrée » du bonheur comment ne pas se sentir en échec face aux réactions naturelles (qui font de nous des humains) que sont la tristesse, le doute, la peine ? « Simplement » en les acceptant, les comprenant, les regardant d’un oeil extérieur tourner vers l’intérieur ?
Ma question n’est pas forcément claire, aussi en essence je m’interroge sur de culpabilité face à l’échec (ponctuel) dans la recherche du bonheur.
Bonjour,
Ici, nous sommes face à une problématique de « vocabulaire » : Pourquoi l’échec devrait-il être négatif ?
Les émotions de tristesse, de doute, de peine sont naturelles et normales, elles sont le signe que nous sommes humain et que nous vivons des expériences. Ce n’est pas un échec que de ressentir cela.
Le bonheur ce n’est pas « aller bien tout le temps ». Le bonheur c’est : Mettre de sens à sa vie et être capable de générer des émotions positives À CÔTÉ d’autres émotions, (potentiellement négatives).
L’échec est de ce point de vue TRÈS positif car il nous permet de nous réorienter, de nous poser les bonnes questions de ce qui est vraiment important pour nous.
En somme, plus nous échouons, autrement dit, plus nous expérimentons, tout en nous remettant en question, et plus nous sommes heureux.
Dans ce mini-séminaire, je parle de ce sujet de l’échec, si vous souhaitez en savoir plus :
http://heureux-dans-sa-vie.com/mini-seminaire-confiance-en-soi-et-en-la-vie-estime-de-soi/
Si vous n’avez pas encore effectué la « visite guidée », je vous la recommande également chaudement.
Maxime
Il est difficile d’avoir du recul sur soi par sois même. C’est vraiment génial ce que vous faites. Apprendre à se connaître pour être heureux est extrêmement important , or je n’avais pas cette prise de conscience. Je ne laisse jamais de commentaire mais vous m’avez beaucoup aidé alors merci.
Il est difficile d’avoir du recul sur soi par sois même. C’est vraiment génial ce que vous faites. Apprendre à se connaître pour être heureux est extrêmement important , or je n’avais pas cette prise de conscience. Je ne laisse jamais de commentaire mais vous m’avez beaucoup aidé alors merci.
Mon petit ami avec lequel je vis en couple depuis deux ans, explose quand un de mes vieux copains de 30 ans me touche ou m’embrasse amicalement devant lui.
Il dit que je lui manque de respect etc qu’il ne peux accepter ça en me faisant une scène.
Ayant longtemps vécu seule, j’ai beaucoup de copains et amis que j’aimerai conserver.
C’est difficile car il est jaloux
Comment faire ?????
Merci de votre aide et conseil
Letard
Mon petit ami avec lequel je vis en couple depuis deux ans, explose quand un de mes vieux copains de 30 ans me touche ou m’embrasse amicalement devant lui.
Il dit que je lui manque de respect etc qu’il ne peux accepter ça en me faisant une scène.
Ayant longtemps vécu seule, j’ai beaucoup de copains et amis que j’aimerai conserver.
C’est difficile car il est jaloux
Comment faire ?????
Merci de votre aide et conseil
Letard
Bonjour Maxime, et merci infiniment pour toutes ces explications qui éclaircissent bon nombre de choses en moi. Néanmoins, je me demande quelle est la place du rêve (éveillé) J’entends par là; lorsque l’on se projette avec notre mental et des émotions agréables vers un lieu ou vers où des personnes (et ce quelque soit la situation vécue dans le présent)? Que provoque cette imagination active comme conséquences dans la matière ? Par ex. vous avez vu une jolie maison dans un journal, son intérieur en le contemplant sur le journal/site etc. provoque en vous du bien être et vous vous mettez à rêver consciemment que vous déplacez des ce lieu, que vous vous y vivez en harmonie jusqu’à « ressentir » comme si vous y étiez sans faire d’efforts ? Devrait-on refouler de telles « rêvasseries » ? Merci pour votre retour. Nadia
Bonjour Maxime, et merci infiniment pour toutes ces explications qui éclaircissent bon nombre de choses en moi. Néanmoins, je me demande quelle est la place du rêve (éveillé) J’entends par là; lorsque l’on se projette avec notre mental et des émotions agréables vers un lieu ou vers où des personnes (et ce quelque soit la situation vécue dans le présent)? Que provoque cette imagination active comme conséquences dans la matière ? Par ex. vous avez vu une jolie maison dans un journal, son intérieur en le contemplant sur le journal/site etc. provoque en vous du bien être et vous vous mettez à rêver consciemment que vous déplacez des ce lieu, que vous vous y vivez en harmonie jusqu’à « ressentir » comme si vous y étiez sans faire d’efforts ? Devrait-on refouler de telles « rêvasseries » ? Merci pour votre retour. Nadia
Bonjour Nadia,
Refouler, non.
Ce que vous faites est proche, semble-t-il, du principe même de la loi d’attraction. En se concentrant de la sorte et en ressentant ce que vous ressentiriez si vous y étiez, vous attirez à vous ce « rêve » ou quelque chose de similaire, en adéquation avec le ressenti.
L’univers est maître de la Forme (la maison par exemple), il vous proposera donc des Formes dans lesquelles vous ressentez les émotions contactées au préalable.
C’est pourquoi tout est juste, même si cela ne ressemble pas (a priori) à ce que nous attendions, cela est toujours en résonance avec l’état dans lequel nous sommes le plus souvent.
Merci pour la question
À bientôt
Maxime
Bonjour Maxime, je vous remercie d’avoir répondu à cette question.À bientôt
Mon avis sur votre question : Si le bonheur est « interne », la vie peut-être considérée comme juste là pour nous montrer la « voie », elle nous permet de relativiser ce que l’on vit de négatif…
Le bonheur, est interne car c’est à nous seul, qu’appartient cette mission de : selon mon point de vue, parvenir nous-même, d’avoir la force et la conviction profonde (en soi), de transformer en positif tout ce qui est négatif, en somme, de relativiser sur les situations vécues…
C’est bien pour cela que nous sommes sur cette terre, pour « vivre nos expériences et en tirer des conclusions », les plus positives possibles….
Bonjour Maxime,
Je souhaite simplement ici vous remercier pour le travail que vous avez laissé en ligne, j’y ai puisé beaucoup d’inspiration sur ma route pour évoluer plus vite et mieux particulièrement dans le domaine de la relation à l’autre.
J’espère de tout coeur que votre évolution personnelle vous apporte beaucoup de bonheur
Bonjour Maxime,
Je souhaite simplement ici vous remercier pour le travail que vous avez laissé en ligne, j’y ai puisé beaucoup d’inspiration sur ma route pour évoluer plus vite et mieux particulièrement dans le domaine de la relation à l’autre.
J’espère de tout coeur que votre évolution personnelle vous apporte beaucoup de bonheur
Merci infiniment Lena pour votre massage !
Mon évolution personnelle est pleine de rebondissement, mais très épanouissante en effet 😉
Merci !
À bientôt
Maxime
Bonjour Maxime ,
intéressant pour moi ce cours entre bonheur et plaisir ! effectivement trop souvent confondus; je n’avais pas vu le bonheur comme une émotion et puis soudain en lisant le texte ;mais oui bien sûr c’est évident … Un grand MERCI Maxime pour tout ton travail partagé tout devient plus clair .
Merci à bientôt
Christelle
Bonjour Maxime ,
intéressant pour moi ce cours entre bonheur et plaisir ! effectivement trop souvent confondus; je n’avais pas vu le bonheur comme une émotion et puis soudain en lisant le texte ;mais oui bien sûr c’est évident … Un grand MERCI Maxime pour tout ton travail partagé tout devient plus clair .
Merci à bientôt
Christelle
Merci Christelle pour ce message et BRAVO pour ces prises de conscience !
À très bientôt
Maxime
Beaucoup de personnes témoignent de leurs expériences du bonheur et pensent l’avoir enfin trouvé. Elles disent être heureuses, c’est merveilleux et surement vrai au moment où elles l’expriment. La plupart d’entre elles ont su développer les qualités essentielles d’amour, bienveillance, altruisme, compassion, générosité etc. pour atteindre ce bonheur. Elles ont constaté que leur condition de vie n’était pas leur vie et qu’elle ne pouvait en aucun cas, à elle seule, leur apporter le bonheur. Mais de quel bonheur parle-t-on ? sommes-nous sûr qu’il s’agit du bonheur éternel. Celui qui sera toujours présent en nous, quelques soient les plus terribles circonstances de la vie? Ne s’agit-il pas que d’un bonheur relatif. Chacun a sa définition du bonheur (et sa vision pour l’atteindre) mais est ce qu’il n’y aurait pas un sens universel.
Je crois que le bonheur ultime ne se cherche pas, il ne se trouve pas ni même après avoir mis en place toutes les qualités citées ci-dessus ; il se vit. Si on cherche le bonheur et qu’on le trouve avec ces moyens habiles, ce ne sera qu’un bonheur relatif car on va l’opposer au malheur, et donc, s’y attacher pour ne pas le perdre. Et cet attachement sera une source de souffrance.
Le bonheur EST et ne doit pas être opposé au malheur. Le malheur EST et ne doit pas être opposé au bonheur. Les stoïciens parlent de l’Ataraxie, cette paix de l’âme que nous avons tous au fond de nous, et qui dépend de nous. Pour cela, il nous faut accepter toutes les circonstances de la vie, même les plus douloureuses et les plus dramatiques qui se produisent ou se produirons un jour, sans altération de notre équanimité.
La paix existe parce qu’on l’oppose à la guerre, le bruit au silence, la lumière à l’obscurité, le bien au mal, le malheur existe parce qu’on l’oppose au bonheur, etc.…Nous sommes dans la dualité. Il nous faut voit cette notion pour bien appréhender l’idée même de non dualité. Et après avoir compris et expérimenté cette notion, on est probablement dans l’être, dans la vision ultime des choses et l’ainsité.
Il nous faut sortir du jugement permanent que l’on porte sur les choses, les circonstances, les évènements, les gens, car c’est notre jugement qui crée la dualité. Notre tendance naturelle est de nous tourner vers ce qui nous semble bon et juste pour nous, et rejeter ce qui est mauvais, donc nous jugeons. Cette distinction émane de notre inconscient comme une réalité en soi, directement liée à nos perceptions sensorielles qui nous fait dire, j’aime, je n’aime pas, je veux, je rejette. Elle est la conséquence de nos sensations et perceptions qui éveillent en nous le sentiment plaisant ou déplaisant que l’on porte sur les choses et qui vient exacerber mon petit moi qui lui aussi se différencie du reste du monde. Tant que l’identification de mon Etre se fera en opposition aux autres, je serai encore longtemps dans la souffrance et donc inapte au bonheur.
Accepter les choses sans jugement, ne veux pas dire se résigner, mais observer ce qui dépend de nous de ce qui n’en dépend pas, afin d’adapter au mieux nos actions et prendre les bonnes décisions avec un esprit calme et serein. Et ne rien rajouter à la situation qui est ce qu’elle est.
L’attachement cité plus haut, est aussi, je crois, le nœud du problème. Désirer et obtenir une chose sans s’y attacher, c’est accepter pouvoir la perdre sans en souffrir. Le bonheur est en nous, et il nous faut juste, si je puis dire, lever les voiles de notre ignorance pour le révéler.
L’ignorance ne veut pas dire que nous sommes sots. En fait, nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont mais telles que nous les imaginons à travers le prisme de notre mental et donc de notre égo. Elles sont le fruit de notre éducation et de nos expériences. Ce sont aussi nos pensées et nos émotions qui nous donnent la certitude d’exister à travers elles. Nous nous y identifions et leurs attribuons une solide réalité. Par une véritable introspection nous constaterons que nos pensées s’élaborent presque toujours en référence au passé ou au futur et sont donc sans réalité. La seule réalité est ce qui se passe maintenant, dans le présent, tout le reste n’est que nostalgie ou supposition sous forme pensé.
Nous ne sommes pas ce que nous croyons être, car nous nous identifions à notre moi et nous nous y attachons alors qu’il n’est qu’une illusion. Nous sommes dans la caverne de Platon comme tous ces gens, qui même si la situation ne leur est pas idéale, ils s’en accommodent tant bien que mal. Ils se disent que c’est la vie et ne cherchent pas à regarder ailleurs, ni même à ouvrir les yeux, pour changer leur vision du monde. Peut-être que la seule question fondamentale à se poser serait : ………………………………………………………………………… ?
Beaucoup de personnes témoignent de leurs expériences du bonheur et pensent l’avoir enfin trouvé. Elles disent être heureuses, c’est merveilleux et surement vrai au moment où elles l’expriment. La plupart d’entre elles ont su développer les qualités essentielles d’amour, bienveillance, altruisme, compassion, générosité etc. pour atteindre ce bonheur. Elles ont constaté que leur condition de vie n’était pas leur vie et qu’elle ne pouvait en aucun cas, à elle seule, leur apporter le bonheur. Mais de quel bonheur parle-t-on ? sommes-nous sûr qu’il s’agit du bonheur éternel. Celui qui sera toujours présent en nous, quelques soient les plus terribles circonstances de la vie? Ne s’agit-il pas que d’un bonheur relatif. Chacun a sa définition du bonheur (et sa vision pour l’atteindre) mais est ce qu’il n’y aurait pas un sens universel.
Je crois que le bonheur ultime ne se cherche pas, il ne se trouve pas ni même après avoir mis en place toutes les qualités citées ci-dessus ; il se vit. Si on cherche le bonheur et qu’on le trouve avec ces moyens habiles, ce ne sera qu’un bonheur relatif car on va l’opposer au malheur, et donc, s’y attacher pour ne pas le perdre. Et cet attachement sera une source de souffrance.
Le bonheur EST et ne doit pas être opposé au malheur. Le malheur EST et ne doit pas être opposé au bonheur. Les stoïciens parlent de l’Ataraxie, cette paix de l’âme que nous avons tous au fond de nous, et qui dépend de nous. Pour cela, il nous faut accepter toutes les circonstances de la vie, même les plus douloureuses et les plus dramatiques qui se produisent ou se produirons un jour, sans altération de notre équanimité.
La paix existe parce qu’on l’oppose à la guerre, le bruit au silence, la lumière à l’obscurité, le bien au mal, le malheur existe parce qu’on l’oppose au bonheur, etc.…Nous sommes dans la dualité. Il nous faut voit cette notion pour bien appréhender l’idée même de non dualité. Et après avoir compris et expérimenté cette notion, on est probablement dans l’être, dans la vision ultime des choses et l’ainsité.
Il nous faut sortir du jugement permanent que l’on porte sur les choses, les circonstances, les évènements, les gens, car c’est notre jugement qui crée la dualité. Notre tendance naturelle est de nous tourner vers ce qui nous semble bon et juste pour nous, et rejeter ce qui est mauvais, donc nous jugeons. Cette distinction émane de notre inconscient comme une réalité en soi, directement liée à nos perceptions sensorielles qui nous fait dire, j’aime, je n’aime pas, je veux, je rejette. Elle est la conséquence de nos sensations et perceptions qui éveillent en nous le sentiment plaisant ou déplaisant que l’on porte sur les choses et qui vient exacerber mon petit moi qui lui aussi se différencie du reste du monde. Tant que l’identification de mon Etre se fera en opposition aux autres, je serai encore longtemps dans la souffrance et donc inapte au bonheur.
Accepter les choses sans jugement, ne veux pas dire se résigner, mais observer ce qui dépend de nous de ce qui n’en dépend pas, afin d’adapter au mieux nos actions et prendre les bonnes décisions avec un esprit calme et serein. Et ne rien rajouter à la situation qui est ce qu’elle est.
L’attachement cité plus haut, est aussi, je crois, le nœud du problème. Désirer et obtenir une chose sans s’y attacher, c’est accepter pouvoir la perdre sans en souffrir. Le bonheur est en nous, et il nous faut juste, si je puis dire, lever les voiles de notre ignorance pour le révéler.
L’ignorance ne veut pas dire que nous sommes sots. En fait, nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont mais telles que nous les imaginons à travers le prisme de notre mental et donc de notre égo. Elles sont le fruit de notre éducation et de nos expériences. Ce sont aussi nos pensées et nos émotions qui nous donnent la certitude d’exister à travers elles. Nous nous y identifions et leurs attribuons une solide réalité. Par une véritable introspection nous constaterons que nos pensées s’élaborent presque toujours en référence au passé ou au futur et sont donc sans réalité. La seule réalité est ce qui se passe maintenant, dans le présent, tout le reste n’est que nostalgie ou supposition sous forme pensé.
Nous ne sommes pas ce que nous croyons être, car nous nous identifions à notre moi et nous nous y attachons alors qu’il n’est qu’une illusion. Nous sommes dans la caverne de Platon comme tous ces gens, qui même si la situation ne leur est pas idéale, ils s’en accommodent tant bien que mal. Ils se disent que c’est la vie et ne cherchent pas à regarder ailleurs, ni même à ouvrir les yeux, pour changer leur vision du monde. Peut-être que la seule question fondamentale à se poser serait : ………………………………………………………………………… ?
[…] Ce que l’autre dit ou fait n’est finalement qu’une toute petite partie de nos raisons de rester avec la personne. La vrai raison, c’est qu’avec l’autre, nous sommes heureux(se), peut importe qui il est et ce qu’il est. Et le bonheur est un état interne. […]
[…] Ce que l’autre dit ou fait n’est finalement qu’une toute petite partie de nos raisons de rester avec la personne. La vrai raison, c’est qu’avec l’autre, nous sommes heureux(se), peut importe qui il est et ce qu’il est. Et le bonheur est un état interne. […]
[…] Ce que l’autre dit ou fait n’est finalement qu’une toute petite partie de nos raisons de rester avec la personne. La vrai raison, c’est qu’avec l’autre, nous sommes heureux(se), peut importe qui il est et ce qu’il est. Et le bonheur est un état interne. […]
[…] Ce que l’autre dit ou fait n’est finalement qu’une toute petite partie de nos raisons de rester avec la personne. La vrai raison, c’est qu’avec l’autre, nous sommes heureux(se), peut importe qui il est et ce qu’il est. Et le bonheur est un état interne. […]